Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.