C’est un réveil dans la douleur et la tristesse ce samedi 7 mars avec la nouvelle de l’assassinat de 5 personnes dans un restaurant à Bamako hier soir. Nous ne pouvons que compatir à la douleur des familles.

Ce sont malheureusement des drames que nous avons connus en France comme au Danemark en janvier. Il faut cependant attendre d’avoir les faits et les motivations des assassins avant de porter un jugement mais le modus operandi semble bien similaire.

J’envoie l’expression de toute ma sympathie à la communauté française et au peuple malien tout autant victime. Nous nous tenons auprès d’eux dans ces circonstances douloureuses.

Nos plus hautes autorités doivent se concerter sur les mesures à mettre en place pour combattre ce mal profond en fonction de la situation particulière, politique et géographique, du Mali.

Rappelons qu’un accord de paix entre le gouvernement et la coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) a été trouvé début mars à Alger et ratifié par le ministre des affaires étrangères malien Abdoulaye Diop.

Le CMA envisage de ratifier d’ici la fin du mois de mars.  S’agirait il de faire échouer cette avancée importante ?