Le 12 novembre j’ai rencontré Didier Pérème, secrétaire du syndicat UNSA de l’AEFE.

Il a souligné l’importance de la grève du 20 novembre pour défendre les postes et les moyens de l’AEFE et pour appuyer les négociations salariales, et celles relatives aux avantages familiaux, en particulier les frais de scolarité des enfants de résidents.

La préparation des Etats généraux de l’enseignement est aussi un sujet de préoccupation à la fois dans la forme (assises régionales qui n’ont pas grand sens pour l’enseignement à l’étranger) et sur le fond (mise en place d’une Chartre de l’AEFE qui vise surtout à transformer les EGD en établissements homologués ou autres).

Nous faisons le point sur la mise en place des partenariats publics privés (PPP) qui restent très modestes (il semble concrètement que seul le projet du Caire avance réellement).

L’UNSA se plaint également des conditions non transparentes – c’est à dire sans passer par les commissions paritaires d’affectation – dans lesquelles se font les nominations des enseignants dans les postes de responsabilité du MAE tels qu’attachés de coopération, directeurs d’Alliance française, …