Jeudi 29 mars, j’ai participé à mon premier conseil d’administration de l’AEFE. J’y ai retrouvé de nombreux amis.

Le Conseil, présidé par M. Laurent Bili, ambassadeur, s’est déroulé dans un climat positif. Les questions financières ont été largement évoquées et chacun a pu faire part de ses critiques sur la manière dont les pouvoirs publics ont traité budgétairement l’AEFE en lui imposant une ponction injuste et indue de 33 millions d’euros. 

Nous avons été plusieurs à plaider pour que la « future » réforme de l’enseignement français à l’étranger fasse l’objet d’une consultation large et sans contrainte de temps.

Pour les autres points, voir le procès-verbal du conseil (dès qu’il sera disponible).

L’après-midi nous tenons une réunion consacrée à l’observatoire pour les élèves à besoins éducatifs particuliers (OBEP).

Les besoins éducatifs particuliers sont de nature diverse et à des degrés variables et recouvrent tous les élèves en difficulté (maladies graves, « dys », élèves à haut potentiel intellectuel, etc.) dont les élèves handicapés. On ne peut que se réjouir de voir que les écoles et lycées prennent ces situations en considération et soutiennent la prise en charge avec l’aide d’« accompagnants ». On recense 16.000 élèves avec de telles difficultés et environ 1.000 accompagnants, le plus souvent rémunérés par les parents soit en individuel soit mutualisés.