Les 6 et 7 mai, je me suis entretenu avec des responsables des ministères de la justice (direction des affaires civiles et du sceau) et des affaires étrangères (direction des Français à l'étranger et des affaires consulaires) au sujet des difficultés rencontrées par certains ressortissants français pour exercer au Japon leurs droits parentaux (exercice de l'autorité parentale et droit de visite) après un divorce d'avec un ressortissant japonais. Une cinquantaine de nos concitoyens subissent actuellement de plein fouet les effets de la législation nippone et sont confrontés à de véritables drames familiaux.