Ce matin, dans le cadre des petits-déjeuners de NetExplorateur, j’ai assisté à la présentation du livre « Révolution verte : enquête dans la Silicon Valley » de Michel Ktitareff (éd. Dunod), sur les technologies propres en Californie qui s’appuient désormais sur les applications de Web 2.0.

reverteQuelques exemples :

  • Les technologies vertes dans la cité, avec par exemple la ville de San Jose, capital de la Silicon Valley, qui veut devenir la première ville verte des États-Unis d’ici à 15 ans, avec 100% de son électricité provenant de l’énergie renouvelable ou un recyclage complet de l’eau utilisée dans la ville
  • Google le géant vert, qui a recouvert les toits de son siège de panneaux solaires, mais qui surtout a créé une structure à but non lucratif chargée de financer les technologies vertes et dotée de centaine de millions de dollars
  • Le capital-risque se met au vert, avec en sept ans une multiplication par 7 des investissements dans les technologies propres

Bien sûr, le modèle de la Silicon Valley n’est pas transférable tel que en Europe et en France, mais nous voyons apparaître là de nouvelles technologies qui vont bouleverser le monde.