Un titre à la Proust (« noms de pays ») pour une comédie, qui ne l’est pas mais qui apporte humour, jubilation, légèreté et sensibilité. Un vrai régal.

Le nom des gensUne histoire improbable entre un vétérinaire d’origine juive (Arthur Martin) à la recherche de son passé et une jeune beurette (Bahia Ben Maklouf) de gauche qui prône l’amour comme moyen de conversion des hommes de droite voir d’extrême-droite.
Le film touche à la question de l’antisémitisme, au nucléaire, à l’intégration des immigrés toujours avec justesse et humour.
Deux très bons interprètes (Jacques Gamblin et Sara Forestier) rendent ces personnages attachants.