Bienvenue sur ce site Archive

Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

Merci de votre visite.

Richard Yung
Octobre 2021

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.

Le 24 juin a lieu la journée mondiale anti-contrefaçon. Son objectif est de sensibiliser le grand public aux conséquences de la contrefaçon, tant du point de vue économique que de celui de l'environnement ou encore de la santé.

Le sénateur Richard YUNG (Français établis hors de France), président du Comité national anti-contrefaçon (CNAC), considère que ce genre d’initiative n’est que trop nécessaire. La contrefaçon menace, encore et toujours, la santé des consommateurs. De plus, aujourd'hui, plus d'une entreprise sur deux s'estime victime de la contrefaçon, et cela quels que soient son secteur d'activité, sa taille et son niveau de développement économique. Les entreprises créatives sont particulièrement exposées à ce fléau, qui a profité du développement du commerce électronique.

La lutte contre la cyber-contrefaçon reste donc l’une des priorités du CNAC, Internet étant le principal canal de vente des produits contrefaisants. Un dispositif va prochainement être mis en place pour impliquer les intermédiaires de paiement en ligne dans la lutte contre les sites internet qui contreviennent aux droits de propriété intellectuelle. Le CNAC assure également le suivi des chartes ouvertes à la signature depuis 2008.

Internet n’est pas la seule source de problème. Le développement de l’impression 3D, tout en créant un secteur nouveau d’activités, peut créer des difficultés s’agissant de la protection des droits de propriété intellectuelle. Le Gouvernement s’est engagé à faire émerger une solution adaptée d’ici à la fin de l’année. Dans les prochains jours, les membres du CNAC vont entamer une réflexion sur ce thème en auditionnant les principaux acteurs de ce secteur. Des propositions seront faites au Gouvernement.

Enfin, la coopération internationale et les échanges entre les différents CNAC européens, via un réseau informel, restent une priorité. À l’automne, une délégation française se rendra à Strasbourg et Bruxelles afin notamment de sensibiliser les eurodéputés aux problématiques liées à la contrefaçon et leur présenter des propositions d'actions.