Bienvenue sur ce site Archive

Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

Merci de votre visite.

Richard Yung
Octobre 2021

finance

Vouant un intérêt particulier aux questions économiques depuis mes études et une expérience professionnelle dans le monde de la finance, je suis de près les dossiers économiques et financiers au sein de la commission des finances du Sénat. Je m’intéresse ainsi à la gouvernance économique européenne et mondiale, à la régulation bancaire et financière, au commerce extérieur, aux exportations et aux investissements français à l’étranger. Par ailleurs, je milite activement pour l’introduction de l’action de groupe en droit français.

Vous trouverez ici mes interventions dans le domaine de l’économie et des finances.

Les sénateurs socialistes Nicole BRICQ et Richard YUNG, auteurs d'une proposition de loi sur le recours collectif, prennent acte de la proposition du groupe de travail sur la dépénalisation de la vie des affaires d'introduire dans notre droit une procédure d'action de groupe. Un tel dispositif est nécessaire afin d'améliorer l'effectivité du droit à réparation tout en protégeant les professionnels des actions intempestives et non fondées.

Communiqué de Presse du 30 janvier 2007

Les sénateurs socialistes Nicole BRICQ et Richard YUNG, auteurs d’une proposition de loi sur le recours collectif, dénoncent le retrait de l’ordre du jour parlementaire du projet de loi en faveur des consommateurs, qui prévoyait l’introduction de la procédure d’action collective. Cette décision traduit le manque de courage politique de l’actuel gouvernement, qui, sous prétexte de permettre aux parlementaires de légiférer dans la sérénité, refuse de débattre de la démocratisation de l’accès à la justice.