Bienvenue sur ce site Archive

Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

Merci de votre visite.

Richard Yung
Octobre 2021

hémicycle

L’actualité du parlement – Sénat et Assemblée nationale – est particulièrement riche. La réforme constitutionnelle du 23 juillet 2008 en a accéléré le rythme. Le gouvernement ne nous laisse pas le temps de débattre sereinement et nous restreint souvent au rôle de chambre d’enregistrement, comme l’a montré l’exemple de la loi sur les retraites. Un bémol cependant, il fait trainer certains textes afin de leur assurer une certaine couverture médiatique, c’est le cas notamment des lois relatives à la sécurité, ainsi que celles relatives à l’immigration.

Cette course perpétuelle n’empêche pas d’avoir envie de commenter cette actualité parlementaire agitée, vous trouverez ici mes articles sur ce point.

Les sénateurs socialistes ont débattu entre eux mardi 2 décembre 2014 d’une proposition de loi déposée Mme Natacha Bouchart, sénatrice-maire de Calais, et ses collègues UMP visant à faciliter l’expulsion des squatteurs de domicile. Le texte, qui sera discuté en séance publique le mercredi 10 décembre 2014, a provoqué de nombreuses réactions divergentes au sein de notre groupe.

Les mesures d’économie (700 millions au total) sur la politique familiale annoncées par le gouvernement ce lundi 29 septembre 2014 dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale ne me semblent pas aller dans le bon sens. Certes, la réduction des dépenses est nécessaire pour remettre nos finances publiques à l’équilibre et stopper l’emballement de la dette mais le choix de faire peser ces économies sur la politique familiale ainsi que les modalités choisies sont contestables. J’ai déjà exprimé mon point de vue sur le sujet dans un billet précédent mais je voudrais en rappeler l’essentiel.