Bienvenue sur ce site Archive

Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

Merci de votre visite.

Richard Yung
Octobre 2021

J’ai regroupé, ici, mes articles de blog concernant l’international.

Le Président Sarkozy s’est toujours engagé pour les entreprises françaises à l’étranger. Il se voit comme « le voyageur de commerce » de la République, plus sans doute que ses prédécesseurs. Il a certainement raison car dans la compétition exacerbée pour les grands contrats, chaque chef d’État ou de gouvernement se doit d’apporter le soutien, le poids du diplomatique et du politique à son industrie.

Ce matin, j’assiste au colloque organisé par Nicole Bricq au Sénat sur les relations économiques et financières entre les Etats-Unis et l’Europe (le dialogue transatlantique). Débat de très haut niveau entre les intervenants que j’ai pu entendre : côté américain (les professeurs James Galbraith, Robert Wade, Bill Black), côté français (Jacques Mistral, Jean de Maillard).

Je suis, comme beaucoup, désespéré de la situation au Proche-Orient, entre Israël et les Palestiniens. Je ne vois nulle part de lueur d’espoir. Les Palestiniens sont divisés et risquent un affrontement fratricide entre le Hamas et le gouvernement Abbas.
Ce peuple travailleur et plein d’initiative vit dans le désespoir à Gaza, dans les camps de réfugiés jordaniens ou libanais. Et ce désespoir leur a fait rater – à un cheveu près – cette chance unique de paix qu’étaient les accords d’Oslo. Mais on ne refait pas le cours de l’Histoire.